| | | [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! |  |
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Tomáš Veígl
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| | Sujet: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Ven 19 Juin - 18:29 | |
| ![[ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! 090617084930971907](https://nsa08.casimages.com/img/2009/06/17//090617084930971907.gif) ![[ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Sxgpwj](https://2img.net/h/oi39.tinypic.com/sxgpwj.png) By Stella | examen d'entrée
Ne regarde jamais en Arrière,
vers le ravin de tes remords,
ni Devant vers le vertigineux
sommet d’un futur incertain. Il
suffit de trouver le bon équilibre,
le juste milieu, l’endroit idéal et parfait :
Maintenant.
|
•• Première bouffée d'air
« Monsieur le Directeur ? Enchanté. Excusez-moi de vous déranger… Tomáš Veígl, nous avions rendez-vous ce matin… Hmm, oui, en effet, je suis un peu en retard… À vrai dire j’ai eu un souci d’avion, j’ai manqué ma correspondance à Bratislava... Je ne vous dis pas les aéroports, une vraie catastrophe…
Oui en effet, je suis slovaque, je viens de loin pour vous demander ce poste d’évaluateur. Que je me présente ? Hé bien… J’ai 21 ans, cela fait dix ans que je monte à cheval et je ne m’en suis toujours pas lassé… Bien au contraire ! J’ai décidé d’y consacrer ma vie désormais et c’est ce qui m’a incité à quitter mon pays. Dans ma pratique de l’équitation mon but et mon moteur c’est de toujours faire mieux, on ne peut atteindre la perfection je le sais, mais on peut s’en approcher… D’ailleurs je crois être assez… déterminé, pour ne pas dire, obstiné ; malgré tous les obstacles qui me se sont interposés devant moi dans ma vie, j’ai toujours refusé de renoncer à mes rêves et après ces épreuves j’ose dire que rien ne m’arrêtera.
Ce que j’aime dans la vie ? Hmm, hé bien… La vie, d’abord. C’est fascinant d’être vivant, vous savez… Sinon, j’ai derrière moi une longue pratique du karaté, ma seconde passion ; on ne rêve pas mieux comme défouloir et c’est une excellente discipline du corps et de l’esprit. J’aime le sport en général, et les sensations fortes, la vitesse. J’ai testé tout un tas de choses, comme le saut en parachute ou à l’élastique, le VTT de descente, la moto (quoi que le motocross soit définitivement fini pour moi…), et puis le karting, c’est quelque chose ça, le karting… ! Sinon, j’adore le dessin, dès que j’ai un crayon en main je ne peux m’empêcher de griffonner. Si j’avais une autre vie, je ferais les Beaux-Arts, vous savez… Et puis, et puis… Je vous le disais, j’aime la vie, tout simplement. J’aime traîner toute la journée dehors, j’aime m’engager pours des causes qui le méritent, j’aime regarder un coucher de soleil, j’aime rêvasser les pieds dans l’eau, j’aime jouer les noctambules, partager un pétard avec la copains, regarder les gens passer, prendre un café en terrasse, j’aime tout ce qui est coloré, j’aime les jours de pluie, le soleil, le froid, la chaleur, le sel, j’aime la solitude et j’aime être entouré, j’aime le silence et j’aime l’animation, j’aime vivre, tout simplement, et être heureux.
Vous voulez savoir ce que je n’aime pas ? [Rigole.] Euh… Ben, les abrutis, les gens sinistres, les curieux, les mondanités et l’hypocrisie de certaines sociétés, les indiscrétions, le pessimisme, être pressé, me faire du souci… ou bien aussi, quand ma mine casse et que je n’ai pas de taille-crayons !
Voilà Monsieur le Directeur, je crois avoir fait le tour… Je ne vais pas abuser de votre temps plus longtemps. Au revoir, Monsieur le Directeur... »
•• Celui ou celle que j'ai rencontré en premier
« Tomáš Veígl ? Oui, je connais…
- Tu parles que tu le connais, t’es à fond sur lui !
- Non, j’étais, nuance !
- Ne la croyez pas, elle est toujours à fond sur lui. Faut dire que ce mec, il est quand même bien foutu…
- Très bien foutu…
- Ah, tu vois !
- Il est sportif, vous voyez, et il passe des heures, chaque semaine, au dojo, à cogner sur les punching-balls –ou sur des adversaires… Alors je vous garantis qu’il a la ligne, et même qu’il est plutôt très bien musclé !
- Maigre.
- Mais musclé !
- Ouais, c’est pas Schwarzie il en est même très loin, mais sans être baraqué, il en impose.
- Déjà il est grand…
- … et puis il a de l’assurance, il a une parfaite maîtrise de son corps, à la voir on dirait que le moindre de ses gestes est mesuré, calculé, précis…
- Dis donc, je croyais que c’était moi qui était à fond sur lui !
- … et il a des réflexes fulgurants.
- En plus ce type-là, croyez-moi, faut pas le provoquer… Il sait se battre et puis, il n’a pas peur de le faire !!
- Cela dit c’est un dessinateur merveilleux…
- Moi je dis, le mieux chez lui, c’est ses yeux. Bleus, mais d’un bleu… !! Enfin, un bleu bleu quoi.
- Très explicite dis-moi…
- Ben, c’est un bleu assez vif, et il vous lance de ses regards… Qui vous liquéfient sur place…
- C’est vrai qu’il a des beaux yeux. Et un beau sourire aussi…
- Oui, avec ses petites fossettes !
- En fait il a un beau visage, quoi. Fin, sans défauts, bronzé…
- Dis-moi, est-ce que c’est bien toi qui dis ça ? Je ne te reconnais plus là…
- Quoi, il faut dire ce qui est ! Par contre, niveau caractère…
- On peut pas lui en vouloir, sexy comme il est…
- Arrête de baver comme ça ! Ce type il attire toutes les nanas, un vrai aimant. C’est sûr qu’il est pas mal, mais c’est surtout son charme particulier, son air détaché, limite je-m’en-foutiste, qui fait effet… Et puis, on dirait qu’il s’en fout, de ce que pensent les gens, d’attirer les filles. Alors ça ne fait qu’augmenter son attraction sur certaines… (suivez mon regard).
- N’importe quoi !! J’suis pas comme ç…
- C’est difficile de définir Tomáš. Ça fait quelques années que je le connais, moi, pas très intimement mais on a discuté, quelques fois. C’est à la fois un doux rêveur complètement déphasé du monde et un… Je sais pas comment dire… Il peut se montrer tellement cynique, vous voyez. Pas pessimiste, non… Mais, négatif, un peu, et cynique, vraiment. Y’a des jours, je vous dis pas comment qu’il râle !! D’autres fois il met l’ambiance, il a du peps ce type. D’ailleurs rien qu’avec ses fringues il met l’ambiance !
- C’est vrai ça, toujours habillé très… colourful ! Il s’en fout complètement de la mode, il suit sa propre tendance. Les pantalons avec tout plein de poches ou les jeans customisés, les tee-shirts flashy ou colorés…
- On ne l’a jamais vu en noir, d’ailleurs ça ne lui irait pas.
- Il a presque toujours un truc autour du cou, une espèce d’étole dont la couleur varie selon les jours, et qu’il n’enlève que quand il fait vraiment chaud.
- Et il a toujours un truc dans la bouche…
- … Clope, cure-dents ou brin d’herbe.
- Non mais tu as vu ta tête ? T’es de plus en plus accro ma pauvre fille…
- Ben quoi… Il est quand même classe ce type !
- Ouais mais, on raconte qu’il est gay.
- Gay ? N’importe quoi, t’as vu le nombre de filles qu’il se tape ?!
- Ouais, enfin, j’dis ça j’dis rien… »
Témoignage de Silvia & Natália, camarades d’université de Tomáš.
… Moche. Dur.
Non pas que ce ne le soit plus, m’enfin…
Là où je suis né ? Svätý Jur, Bratislavaský kraj, Slovaquie occidentale, il y a vingt-et-un ans. Une petite ville proche de la frontière tchèque, 4 800 habitants nichés au pied de la montagne. On ne peut pas dire que c’était très animé là-bas.
J’ai eu la douteuse aubaine de tomber dans la famille Veígl, slovaques pur souche et animés d’un esprit nationaliste plutôt fort. Ce sont mes parents qui, à la fin des années 80, ont été parmi les leaders de la première manifestation étudiante qui initia la Révolution de Velours, en Tchécoslovaquie. Il paraît que j’ai été conçu la nuit suivante… Mon plus lointain souvenir, c’est le 1er janvier 1993. Jour de l’Indépendance de la Slovaquie. Je n’avais pas encore quatre ans mais je n’oublierai jamais la joie de mes parents, de ma mère en particulier. Le spectre du communisme s’éloignait peu à peu, nous nous rouvrions au monde, avec, maintenant, une véritable identité nationale.
J’étais leur premier enfant mais très vite j’ai été rejoint par Piotr, qui n’avait qu’un an de moins et a été dès le début (et plus encore par la suite, quand nous sommes devenus tous les deux ados puis jeunes hommes…) le chouchou de mes parents, leur bonheur et leur consolation d’avoir enfanté quelqu’un comme moi. J’avais quatre ans quand j’ai eu mon second frère, Alexej, un petit morveux mais nettement plus sympa que mon cadet, avec lequel je suis devenu beaucoup plus proche. Et puis il y a eu Adinka la benjamine, plus jeune que moi de 11 ans.
La famille Veígl s’était donc beaucoup agrandie, mais sur les quatre enfants j’étais le pire. En tant qu’aîné c’est moi qui aurait dû avoir plus de maturité et de responsabilités, mais j’étais trop tête en l’air, trop indépendant, et ne supportais déjà pas l’autorité. Enfin, heureusement mes parents avaient leur second fils, mon contraire, l’enfant parfait, du moins à leurs yeux. Moi je détestais Svätý Jur et je ne rêvais que de partir à l’étranger, ce que mes patriotes de parents ne comprenaient pas…
J’ai commencé le karaté à 10 ans, on m’a foutu là-bas pour que je tape sur autre chose que mes frères. Et ça m’a plus, beaucoup plus. Ça me plait toujours, d’ailleurs. Le cheval, c’est un combat que j’ai mené des années durant, et finalement remporté à l’âge de 11 ans, quand enfin on m’a laissé monter.
Ce n’était pas dans un club, c’était chez le propriétaire d’une petite écurie qui, quand j’y repense, était complètement inconscient. Avec toutes les gamelles que je me suis prises et les dangers dans lesquels je me plaçais sans m’en rendre compte, j’aurais pu finir paraplégique ou mort… Mais non, plus je tombais plus j’aimais ça, j’ai appris l’équitation n’importe comment et aujourd’hui encore certains codes me dépassent, surtout en dressage. Moi je me suis débrouillé pour tenir à cheval et me faire obéir de ma monture, c’était tout ce qui comptait et d’ailleurs même maintenant j’ai du mal à voir l’intérêt de ce qu’on nous apprend en équitation classique…
J’ai eu une scolarité plutôt chaotique, et j’ai pris l’habitude, à chaque fin d’année, d’envoyer à chacun de mes profs la pile de dessins que j’avais faits dans son cours au fil de tous ces mois. En général ils ne le prenaient pas trop mal, il faut dire qu’ils étaient beaux quand même, mes dessins… J’aurais voulu faire des études d’art, mon père me voulait étudiant en droit. C’était lui qui payait, c’est donc lui qui m’a envoyé à Žilina, au nord du pays, là où il y a l’une des meilleures universités de Slovaquie.
Mine de rien j’ai été heureux là-bas. J’y logeais et j’ai fini par ne plus rentrer chez moi que contraint et forcé, un ou deux mois seulement, pendant l’été. Je m’y suis fait des potes et une réputation de tombeur que je ne m’expliquais pas, on s’amusait bien, même si niveau cours…
On faisait des tas de trucs extras, on était une bande de casse-cous qui testait tous les sports les plus extrêmes, c’était vraiment le bon temps. J’ai économisé pendant des mois pour m’offrir une petite merveille, une Yamaha tout terrain avec laquelle je partais, avec mes potes, cette bécane je m’en souviendrai toujours, aussi excellente sur route qu’en cross.
C’est aussi elle qui a causé ma fin. C’est super le motocross. Un peu dangereux, quoi. La moindre petite erreur de calcul, au millimètre près, peut coûter cher. Ç’a été mon cas.
Je n’avais même pas vingt ans et j’étais condamné à être paraplégique jusqu’à la fin de mes jours.
Mais il ne faut pas croire, il y a des miracles dans la vie. J’aurais pu crever dans l’accident, comme ma super belle Yamaha qui s’est retrouvée broyée, au lieu de ça je suis tombé dans le coma. J’aurais pu ne jamais me réveiller, mais je n’ai été inconscient qu’une semaine. J’aurais pu rester une larve éternellement, mais par un véritable miracle, mon dos s’est réparé. Oh, ça ne s’est pas fait en un jour… Ça non ! Le temps que j’ai passé sur ce putain de lit d’hosto… Mais j’avais la chance d’être très musclé à l’époque, on se faisait des concours de pompes, on allait souvent à la salle de muscu, juste pour la frime quoi. C’est ce qui m’a sauvé…
Huit mois et diverses opérations plus tard, j’entrais en rééducation. Un an après, je pouvais marcher, courir –et monter à cheval !!- normalement. Pas sans séquelles, toutefois. Mon fémur était tellement démoli qu’ils ont dû remplacer les miettes d’os par une barre de fer. Quant à mon dos, il me fait mal, des fois, et je sais que je suis en sursis, le prochain accident risque bien d’être le bon… Mais tant pis ! Je suis vivant et en forme, autant en profiter tant qu’il en est temps !
Enfin, cette philosophie-ci ne m’est venue que quelques mois après, pour combattre la dépression qui s’était installée à l’hôpital et persistait malgré ma sortie. J’ai passé un long moment à broyer du noir, à ne plus rien manger… Maintenant j’ai un moral d’acier et j’essaie de passer par-dessus mon anorexie… mais cette bête-là est tenace ! De toute façon la bouffe me répugne.
Dernière édition par Tomáš Veígl le Lun 22 Juin - 15:39, édité 7 fois | |
| | | | Tomáš Veígl
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| | Sujet: Re: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Ven 19 Juin - 18:30 | |
| 20 juin 2008
« Dis maman, ça veut dire quoi homosexuel ? » J’ai décidé de leur dire.
Ils me connaissent si peu, au fond. Depuis que j’ai seize ans, je passe ma vie à Žilina, loin d’eux…
J’ai décidé de leur dire. J’ai eu beaucoup, beaucoup de copines, dont je ne me rappelle même plus les noms. Des bombes, des gentilles, des sportives, des chieuses, tous les genres et tous les caractères. Ouais, je n’ai pas été très souvent célibataire dans mon adolescence. Mais peut-être qu’il faut que je leur dise… Que je leur dise que les seules fois où j’ai été heureux en couple, et amoureux, c’était avec un mec.
J’ai rien contre les filles, hein. C’est même plutôt chouette. Mais si elles me trouvent dégueulasse, égoïste et méprisant, comme elles disent, si je me désintéresse des regards qu’elle me jettent, c’est parce qu’elles ne m’intéressent pas vraiment. De toute façon c’est très souvent pareil : on sort ensemble, quelques jours, et puis soit ça clashe méchamment, soit on devient de très bons amis.
Ça fait trois mois que je suis avec mon copain, j’ai envie que ça dure, que ça se concrétise.
Je vais donc leur dire, à eux, la famille Veígl.
C’est durant le repas que je me décide. Il y a mes deux parents, le plus âgé de mes frères et ma petite sœur. L’avant-dernier de la fratrie bosse, pour son bac.
Je n’oublierai jamais la violence de la réaction de mon père. Le mépris de mon frère. Le chagrin de ma mère.
Et au milieu de l’onde de choc que j’ai provoquée, ma petite sœur qui demande de sa voix flûtée : « Maman, ça veut dire quoi homosexuel ? »
« Sors de table » m’ordonne mon père, comme quand j’avais huit ans et que je venais de faire une grosse bêtise. « Sors de ma maison ! » ajoute-t-il, en hurlant presque.
Il n’y a rien à ajouter. Je m’exécute.
Il fait nuit quand je reviens, entrant dans ma chambre par la fenêtre comme autrefois quand je faisais le mur. Dans la cuisine j’entends mes parents, ma mère qui se lamente, mais qu’a-t-on fait, que n’a-t-on pas fait, où sont nos erreurs pour aboutir ça ça ?
« T’es homosexuel ? »
Ma sœur vient d’arriver en pyjama les cheveux ébouriffés, elle a dû m’entendre rentrer. Ça me fait sourire de l’entendre articuler ce mot nouveau avec application, d'autant qu'on ne lui a apparemment toujours pas expliqué ce qu'il y a de si ignoble là-dedans.
« Plutôt bi’… » corrigé-je machinalement, tout en me demandant si ces mots ont vraiment un sens.
Elle me regarde avec perplexité et soudain je la serre dans mes bras, sous l’impulsion du chagrin qui me brûle et me tord la gorge. Je sais déjà ce qui va se passer. Je ne serai plus jamais le bienvenu chez moi, dans ma propre famille. Demain mon père me bannira, définitivement.
Il ne m’a jamais compris ; comment ai-je pu croire que cette fois, ça changerait ?
20 juin 2009
Vis tes rêves et ne rêve pas ta vie… J’ai tout plaqué.
Un an maintenant que je n’ai plus vu personne de ma famille. Ma petite sœur me manque un peu, je regrette de me rendre compte que, finalement, je n’ai pas eu le temps de la connaître.
Mais j’ai pris ma décision, maintenant je suis adulte et j’assumerai mes choix. J’ai tout quitté, mes études de droit, l’université, et même la Slovaquie. Je suis parti à l’étranger, en Écosse. Finalement le seul élément qui, dans toute ma vie, est resté stable, c’est mon amour des chevaux. C’est donc vers eux que je me tourne aujourd’hui, c’est donc pour eux que maintenant je vais construire mon existence…
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Célébrité utilisé : Kevin Zegers
Métier demandé : Evaluateur
Élevage envisagé : Paint ou KWPN... Je sais j'ai pas choisi le bon cheval X]
Écurie choisie : Raleigh
Cheval acheté : Java ThankU
puf & prénom : Sorrane/K-Waï
ou avez vous connu mi : J'étais sur PMS =)
remarque : Vous inquiétez pas, ça viendra... ^^
quelque chose à dire ? Hmm, je cherche activement des liens de toutes sortes donc si vous êtes intéressés... (je posterai dans le topic adéquat mais bon... z'au cas z'où ^^)
Dernière édition par Tomáš Veígl le Lun 22 Juin - 15:38, édité 2 fois | |
| | | | Vesper s. Spencer
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| | Sujet: Re: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Ven 19 Juin - 20:53 | |
| Bienvenue & merci pour ton inscription Bonne chance pour la suite  . | |
| | | | Tomáš Veígl
••• Galop 0
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| | Sujet: Re: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Lun 22 Juin - 15:52 | |
| Vualàà, ça devrait être bon... J'espère x] | |
| | | | Soren M. Caldwell
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| | Sujet: Re: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Lun 22 Juin - 16:19 | |
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| | | | Vesper s. Spencer
••• Admin & Galop 2
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| | Sujet: Re: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! Lun 22 Juin - 16:28 | |
| Ouaou splendide présentation ! Validéé ( PS les filles je m'occupe de tout, évitons de nous mélanger , laissez poir faire xp ) & Welcome au 66 ; Nelson Mandella Avenue ;) | |
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| | Sujet: Re: [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! | |
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| | | | | | [ Tomáš Veígl ] // L o a d i n g .. done ! | |
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