Un Homme en essuie de bain.

Vincent trop paresseux pour retourner chez lui et trop crasseux pour rester ainsi toute la journée avait décidé d'utiliser les douches communes. Et il se trimbalait en essuie de bain torse nu dans toute la maisonnette. Ou pas tout a fait. Il était trempé et ne retrouvait plus ses vêtements ! Surement la femme de ménage devait s'être vengée des traces de boue dans la cuisine. Une fois sec et le brushing toujours autant défait il ne put néanmoins pas résister à l'appel de la salle de "jeux". Il y joua un certain temps sans se rendre compte de rien puis alla avec un aire innocent chercher vers le dortoir d'autres vêtements bien secs, bien propres. Il ne se doutait pas qu'il rencontrerait en chemin...

… un autre homme, un certain Tomáš qui, en l’occurrence, se demandait vaguement ce qu’il faisait ici.
Le Slovaque traînait dans les parages, à tout hasard il faut bien l’avouer. « Baroudeur » dans l’âme, il s’était laissé pousser par ses instincts d’explorateur, et s’était donc lancé dans la visite et la découverte tout à fait passionnantes et exaltantes des bâtiments de Midlothian Institute, ses pas le menant dans divers pièces et recoins qu’il n’avait, jusque-là, pas vraiment pris le temps d’étudier.
Ayant eu vent d’une certaine salle propice à la détente et aux loisirs, le jeune homme avait, machinalement, grimpé les trois étages qui permettaient d’accéder… au troisième étage ! –ça alors, qui l’eût cru ?- Troisième étage, donc, lieu où potentiellement il trouverait ce qu’il cherchait.
En tout cas, il n’y avait pas un chat dans ces bâtiments, c’était d’un déprimant… Mais où étaient-ils donc passés, tous ? Bon, avouons que cette question avait bien un semblant de vague réponse des plus plausibles. C’était une jolie journée, comme quasiment toutes celles du mois de Juin d’ailleurs, et toute la population de Midlothian devait très certainement se répartir entre les écuries, les chemins de balade et Édimbourg & ses quartiers animés… Enfin, il espérait bien trouver quelques personnes dans la fameuse salle qu’il cherchait. Raah, c’était à croire que lui, Tomáš Veígl, était le seul paumé à avoir eu la lumineuse et magnifique idée de visiter l’intérieur même de MI… !
Ah mais oui mais non, car de la manière la plus impromptue qui soit, dans le couloir de ce fameux troisième étage, le Slovaque tomba sur quelqu’un d’autre –waouh, miracle, il y a encore de la vie dans les parages ! x]-. Le Quelqu’un en question était un homme, jeune selon toute apparence, et dont l’élément le plus flagrant est qu’il avait pour tous vêtements une simple serviette nouée à la taille.
Tomáš avait pour habitude de jeter à tous les gens qu’il rencontrait un regard scrutateur, rapide, de la tête aux pieds, et cette fois ne fit pas exception ; il coula un œil expert sur la silhouette de cet inconnu, s’attardant brièvement sur son torse, puis sur son visage encadré de cheveux humides et en bataille. Parfait stéréotype de celui qui sort de la douche, sauf que les douches, du moins, pour ce qu’en savait le jeune homme, se trouvaient à l’opposée de là d’où venait ce type.
*Hm c’mec là l’est pas trop ma…*
Sévèrement, Tomáš étouffa précipitament la pensée qui était venue s’immiscer dans son esprit en rencontrant les prunelles très bleues du grand brun. Il détourna les yeux une fraction de seconde.
« Salut », fit-il, masquant tant bien que mal son malaise.
Le temps de deux respirations, puis, retrouvant son assurance ordinaire, il reprit d’un ton où perçait légèrement une gentille moquerie :
« Dis-moi, tu n’aurais pas perdu quelque chose par hasard ? »
Ce disant, il laissa un sourire amusé retrousser ses lèvres.
Ou alors, qui sait, l’exhibitionnisme était peut-être tendance en ce moment en Écosse…

Loin là-bas des pas résonnèrent dans la petite bâtisse de Midlothian. Il ne sut pas pourquoi mais, une petite voix lui dit salut. Comme s'il n'avait strictement rien entendu pensant encore avoir un appel de sa petite voix intérieure qui voudrait pour changer lui faire la moral, il ignora. Ensuite le son l'interpella de nouveau. Sa première pensée fut qu'un chat anglais ça devait surement avoir un accent slovaque. C'est à cet instant précis que son décodeur de parole se mit de nouveau à fonctionner et qu'il prit alors la peine de lever la tête.
Il vit un jeune homme pas trop mal qu'il lui rappelait vaguement quelqu'un. Mais pas grand-chose de plus, il remarqua aussi qu'il semblait comment dire. Intéréssé ? Par le joli torse de Vincent mais, détourna la tête comme honteux. De ne pas pouvoir exprimer son désir ? Qui sait... Vincent était tout simplement à croquer avec son petit essuie. Et sa bouille de dégénéré.

"Hum, je n'ai rien oublié la femme de ménage se venge juste sur moi.
J'en peux rien moi si la cuisine était propre et que mes bottes étaient sale."

Sans le vouloir il prit une mine de chien battue, un peu comme un gamin qui va se faire frapper. Ou voler ses vêtements dans son cas ! Vincent pivota alors et réfléchit le temps d'un instant. Qui était-se ? Il n'eut pas de mal à se rappeller ce soir là ou après un coup de blues. Il avait attaqué le videur du quartier pour partir sillonner les bars et finir dans le lit d'un inconnu. Il se rappellait vaguement du gars, mais se rappellait de ses yeux pétillant et de la photo de sa fille qu'il avait oublié chez l'inconnu. Il se tint d'abord dans un équilibre qui penchait vers l'arrière puis d'un bon lent mais, assez rapide. Il déposa ses lèvres sur celle de Thomas sans lui demander la permission. Aussitôt fait aussitôt parti il se mit à sourire et a gambader bêtement la tête comme dans les nuages. Il dit alors de sa voix suaves et grave qui lui donnait encore se petit air sexy.

" Te souviens tu de moi ? "

Il ne fallait pas grand chose pour se rappeller du grand brun. Un cerveau et deux yeux, l'un plus évident que l'autre. Vincent ne voulais que Thomas sache pour Polly sa fille. Il voulait vraimment que jamais il n'ait retrouvé la photo. Et que jamais il n'est lu l'arrière avec marquer dessus "Polly qui embrasse fort son papa" Et que surtout jamais il ne lui la rende.

Le sourire amusé de Tomáš s’élargit à la réponse de l’inconnu, qui fut assortie d’une mimique piteuse… et odieusement craquante. Là, estima le Slovaque, il vaudrait mieux que je passe mon chemin… Non pas que la mystérieuse salle du troisième étage l’appelle urgemment, mais bon…
« Mais q… »
Trop tard ; il venait de se faire chopper les lèvres par surprise par ce parfait inconnu, qui maintenant semblait aux anges.
« Te souviens tu de moi ? »
*Oh putain.*
Effectivement maintenant… Il se souvenait, même si les événements demeuraient particulièrement brumeux et décousus dans sa tête. Dire que ce soir-là, il avait prévu de rentrer tôt et de ne pas trop boire… Effectivement il était rentré chez lui avant le lever du soleil, mais avec quelques grammes d’alcool dans le sang et pas tout seul. Chose qu’il avait regrettée les jours suivants ; il s’était promis de ne plus tomber dans le piège… d’arrêter de faire le con…
Cela dit, à la vue de cet inconnu qui s’avérait finalement ne pas en être un, il était tout d’un coup plus difficile d’avoir des remords pour cette nuit-là… J’aurais pas dû le laisser partir si vite çui-là…
Une moue amusée apparut sur le visage du jeune homme.
« Hmm hmm, ça se pourrait bien oui… » répondit-il sur un ton voisin de celui qu’avait employé le grand brun, l’œil pétillant
Retrouver une aventure d’un soir sur ce qui était plus ou moins son lieu de travail était probablement passablement gênant, mais… tout bien réfléchi ça ne le dérangeait pas tant que ça. Il avait quand même des putain d’yeux ce mec… Et ne parlons pas du reste.
C’est alors que Tomáš se remémora la matinée qui avait suivi et la raison pour laquelle il avait classé cette nuit-là dans la catégorie des Erreurs. Il avait eu amplement l’occasion, alors, de ce poser un bon millier de questions sur ce beau brun dont il ne savait, en fait, quasiment rien. Si ça se trouve, il était maqué… –c’était même quasi obligé, on ne peut pas être célibataire et sexy, c’est pas dans l’ordre des choses-. Ou pire, marié.
Ce qui l’avait entraîné dans ce registre de réflexions ? La découverte d’une photo sous le lit, après le départ de ce type. Pas le genre de photo qu’on aurait pu s’attendre à trouver : c’était une petite fille, et au cas où il aurait eu des doutes l’inscription au dos ne prêtait guère à confusion.
Ce mec avait une gosse. Et en général pour qu’il y ait un enfant faut aussi qu’il y ait une femme. Du moins c’est ce qu’on lui avait toujours appris dans ses –passionnants !- cours de Biologie ; après…
Tomáš avait rapidement repoussé toutes ses élucubrations farfelues et classé l’incident dans un coin de sa tête assez proche des oubliettes, décidant une bonne fois pour toutes que tout ça c’était pas ses oignons et que de toute façon, ils ne se reverraient jamais.
Sauf qu’il y a jamais et jamais ; en l’occurrence ce jamais-là n’avait pas duré très longtemps.
« Je… crois que ça me réussit pas trop, la vodka », commenta-t-il, ses dernières réflexions lui rendant un tantinet de sérieux.

PNJ: Bonnie la femme de ménage.

Après avoir prit les vêtements du petit cochon de la cuisine. La femme de ménage découvrat que sa réserve de vodka secrète venait d'6etre completement volée. Prit d'un colère insoutenable mais ne voulant pas perdre son travail. La bonne vieille Bonnie rapporta les vêtements là ou elles les avait trouvé en chemin elle trouva les deux jeunes hommes dont l'imbécile en essuie.
«Ici c'est pas un bar de streap Tease ! Tu prends tes habits tu va t'habiller et tu me rend se que tu m'as prit !»
Elle reparti alors tout éffarouché et venant de crier sur Vincent comme sur un petit gosse/

( J'ai besoin de cette action pour ma réponse en répond pas ça arrive Un Homme en essuie de bain. 396885

)

Vincent fut surpris part l'arrivée spontanée de Bonnie. Il fut content de récupérer ses vêtement et sourit bêtement en pensant que jamais elle ne retrouverai ses bouteilles. Vu qu'elle etait bien cachée dans le box de Monetary. Oui, oui... Vous allez dire que Vincent est irresponsable. Si c'est le cas il vous en fera part ! Mais pour le moment il était plus omnibulé par la petite dame du nettoyage cas penser a draguer une ancienne conquête ! Surtout que celui-ci détenait des informations qui le rendait un peu trop dangereux au goût de Monsieur Valentine.
Vincent fit un léger clin d'oeil à Thomas et partit vite fait se changer pour en pas rester toute sa vie en essuie de bain même si cela ne sembler pas du tout déranger l'interessé ! Il revint taper avec une chemise blanche et un pantalon d'équitation grisonnant avec une touche noir au niveau de ses boites. Rien de plus extravaguant mais très fatale dans son genre. Comme un mauvais tic, il retira la mèche tombante qui lui barrait la vue. Et se rapprocha de Thomas avec un sourire a la fois vicieux, mais tout en étant incroyablement chaleureux. Il prit doucement le col du pauvre Thomas et serra peut a peut le tissu entre ses doigths. Vincent le regard plongé dans celui de thomas le poussa peu à peu contre le mur sans se rendre contre de ce qu'il faisait réllement. Il se mit a rire doucement presque sur d'avoir perturber son future concubin qui sait ? C'est alors que d'un mumure léger la voix de l'homme aux yeux charbonneux se mit a claironner.

« Tu as quelque chose qui m'appartient ?!»

La voix sonnait presque comme un ordre claquant dans sa bouche comme un 'degoût son regard devint presque gris et on senti l'aire devenir maussade. Comme ci il ne voulait pas qu'il ai cette chose. Mais le plus impressionnant était la douceur que faisait par Vincent malgré son esprit qui divaguait.

C’est alors qu’une petite femme en uniforme se pointa dans le couloir, un air furieux sur le visage. Hmm, la femme de ménage, à en juger par ses vêtements. D’ailleurs en parlant de vêtements, elle en tenait un petit paquet dans les bras. Tiens tiens, donc apparemment c’étaient les fringues de Vincent…
Lequel eut tôt fait, après une brève absence, de réapparaître, sans sa serviette mais avec un pantalon de cheval et une chemise sur le dos. Euh, pas le même style, mais pas mal non plus Royal

À la vue du sourire qu’arborait le grand brun en se rapprochant de lui, Tomáš ressentit une vague méfiance… méfiance qui s’avéra justifiée lorsque Vincent le prit au col et le fit reculer, doucement. Le jeune homme rencontra soudain le mur et y appuya son dos, sans quitter l’autre des yeux, cherchant à décrypter ses pensées au fond de ces prunelles bleues. À quoi jouait-il ?
Un murmure :
« Tu as quelque chose qui m’appartient ?! »
Ainsi Vincent s’était aperçu de la disparition de la photo…
Comment interpréter sa réaction ? En tout cas cet état de fait n’avait pas l’air de lui plaire, à en juger par son ton et son expression… Son regard s’était éteint, virant à un bleu métallique, presque gris.
Parfaitement calme, Tomáš répondit à voix basse, d’un ton badin :
« Vraiment ? »
Comme s’il ne voyait pas du tout de quoi Vincent parlait. De fait, il aurait préféré ne pas savoir, de plus en plus convaincu que ça ne le regardait pas et qu’il s’en moquait.
Il dévisagea le grand brun, laissant son regard suivre l’un après l’autre les traits de Vincent ; il était près, beaucoup trop près à son goût.
Tomáš leva ses deux mains et les appuya sur sa poitrine, pour le repousser mais sans brutalité.

Vincent respira profondément mais, malgré lui son soufle devient saccadé et venaient se mêler à son esprit trouble. La réponse l'avait à la fois rassuré mais légèrement irrité. Il ne devait pas bien se rendre compte dans l'état était le pauvre garçon. Il se tourmentait jour et nuit et là alors qu'il essayait de fuir ses problèmes ils revenaient toujours à la charge toujours plus fort. LLa froideur qui l'avait alors submergé s'éteignit comme le visage chaleureux. Il avait seulement envie de se défouler, pas de colère bien loin de ce sentiment haineux. Il avait exactement envie d'oublier. Il fit une moue malgré lui et se retira doucement de Thomas pour se détourner de lui en lui tournant le dos. Les yeux fixés dans le vide comme insensible à tout ce qui l'entourait. Il sentait que Thomas ne jouait pas franc jeux avec lui, mais en même temps. Se faire presque agresser par une aventure d'un soir après avoir trop bu ne devait pas faire partis de ses hobbys favoris. Vincent se retourna avec un large sourire comme pour essayer vainement de se faire pardonner. Mais si il se savait déjà dessus de lui et de son foutu caractère de cochon.

"Veux-tu bien m'excuser pour cette attitude qui n'en ai pas réellement une, mais cette chose que je recherche me tenais vraiment a coeur et l'avoir perdue enfin. J'vais passer pour une tapette moi ! "

Et c'est là que son ptit côté macho fit de nouveau apparition pour se cacher loin derrière. Pour ne plus devoir souffrir un peu comme une porte fermée à la figure. En se frottant nerveusement le cou il se demandait que pourrait bien faire les gens normaux dans ce genre de situation.

" Jvois pas pourquoi la vodka ça te réussi pas je ne pensais pas être un aussi mauvais cou que ça ! "

Et encore là, on pouvait voir Monsieur le macho à l'oeuvre. Un peu pathétique dans son genre. Il aurait bien voulu être moins sensible mais. On ne choisit pas tellement qui on est. Et de toute manière si ça lui plaisait pas qu'il passe son chemin. Le monde est rempli de mec mignon, ou pas...

Vincent se recula et se retourna, n’offrant plus que son dos et sa nuque à sa vue. Tomáš, lui, resta contre son mur, sans faire d’autre mouvement que de croiser les bras, machinalement, parce qu’il ne savait que faire de ces encombrants membres –fait plutôt inhabituel chez lui, d’ailleurs.
Lorsque le grand brun se tourna vers lui pour s’excuser, le Slovaque lui rendit son sourire presque par réflexe, y ajoutant une touche d’ironie qui vint jouer sur ses lèvres retroussées. Il garda le silence, ne répondant que par le sourire, mais se demanda, un instant, s’il aurait dû rendre la photo de sa fille à Vincent. -Il avait l’air d’y tenir ; du reste, c’était normal…-
Ce qui l’amena à s’interroger sur l’endroit où elle pouvait bien être. Bof, il ne l’avait sûrement même pas gardée. Encore que, vu le bazar qui régnait parmi ses affaires, il ne pouvait être vraiment sûr de rien… En fait il n’était même pas sûr de ne pas avoir foutu son passeport à la poubelle par inadvertance ; d’ailleurs, maintenant qu’il y pensait, ça faisait un bail qu’il ne l’avait pas vu… Woops !
Tandis que dans un coin de son esprit le jeune homme prenait vaguement note de se mettre en quête du précieux papier sans lequel il risquait fort de se faire virer d’Écosse (et aussi, pourquoi pas, aussi, de ranger son fatras par la même occasion… ça pouvait toujours être utile…), il remarqua une certaine gêne en Vincent, qui se frottait le cou en un geste non dépourvu de nervosité. Tiens, lui non plus ne savait trop que faire de ses mains ?
Pour sa part, le Slovaque ne s’était pas départi de son ordinaire décontraction à toute épreuve, du moins en apparence, et restait négligemment appuyé contre le mur où il avait été poussé.
« Mais qu’est-ce qui te fait croire que je te considère comme un mauvais coup ? » demanda-t-il ingénument, en réponse aux paroles de Vincent.
Là-dessus, il se tut, ayant l’impression de s’être trop avancé, mais le petit sourire qui flottait sur ses lèvres, creusant la fossette de sa joue, ne disparut pas pour autant.
Hmm, mauvais coup, certes non, à la lumière du jour comme sous celle du bar où ils s’étaient rencontré, Tomáš ne changeait pas d’avis. Cela dit, il se serait quand même passé de cette nuit-là étant données ses grandes et belles résolutions à son arrivée en Écosse, et surtout ces pseudo révélations sur la paternité de Vincent.
Là-dessus, il fronça intérieurement les sourcils, excédé d’en revenir toujours là. Merde, combien de fois faudrait-il qu’il se répète qu’il n’avait strictement rien à foutre des histoires de ce type ? Chacun sa merde, comme dit –à raison !- le proverbe.