Midlothian Institute
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Andrew Jaxon HOFFMAN
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Andrew Jaxon HOFFMAN


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MessageSujet: & Nothing Else Matters   & Nothing Else Matters EmptyJeu 2 Juil - 22:17

    « Forever trust in who you are & nothing else matters »




    Andrew vagabondait dans l’Académie malgré l’heure tardive. C’était étonnant de le voir encore debout alors que grands nombres d’élèves étaient déjà partis. A vrai dire il ne se sentait pas tant seul que ça, soulagé parfois lorsqu’il y avait moins de personnes autour de lui et qu’il pouvait être un peu tranquille. C’était le cas ce soir. Il descendit de vastes escaliers dans un style baroque raffiné. Lui faisait un peu tâche au milieu de ce décor de contes de fées avec sa chemise ouverte sur son torse et son jean placé légèrement plus bas que la normal. Mais bon, il était comme ça. Un peu classe mais pas trop. Une chaîne d’or brillait autour de son cou et sa gourmette apparaissait sur son poignet gauche. Sur le droit, une montre, une Rolex, cadeau de son père pour ses dix neuf ans. Le beau brun poussa deux grands battants de porte et se trouva dans une immense salle de réception comme il n’en avait jamais vu de pareilles. Avec un sourire le jeune homme s’avança au centre de la salle et se perdit dans un conte de fée, observant les décors, le style, se retrouvant dans un vrai bal comme il n’en avait jamais vu. Il avait l’impression de voir les ombres d’anciens danseurs fouler le sol de leurs talons et mocassins raffinés, se prendre dans les bras, partir dans une valse joyeuse et vivante, les morceaux de tissus affriolants de leur tenue volant dans tous les sens. En gros, ceci. Le jeune homme, qui avait fermé les portes se mit à danser, au milieu de la salle, perdu dans ses pensées comme à chaque fois qu’il se trouvait seul. C’est durant ce pur instant de folie que l’anglais aperçu un piano. Il était au fond de la salle, près de divers instruments de musique.

    « Merci papa. »

    En effet, lorsqu’il était jeune, son père avait absolument voulu qu’il sache jouer de nombreux instruments aussi avait-il droit à des cours tous les jours dans divers instruments : la basse, la guitare, le piano, la contrebasse, la batterie. En gros, il s’était bien emmerdé dans sa jeunesse. Mais, visiblement, ça servait un petit peu. Il s’assit sur le siège du piano et caressa du bout des doigts les touches d’ivoire, appuyant sur l’une, puis sur l’autre, écoutant les mélodies qu’il avait longuement oublié. Mais, visiblement, le piano ressemblait beaucoup au vélo et le jeune homme retrouva rapidement ses marques sur les touches et les pédales. Il commença à jouer un son de Metallica adapté au piano : Fade to black. Cette mélodie avait bercée toute son adolescence comme le fameux groupe de Métal avec Apocalyptica évidemment. Le beau brun entendait le son raisonner dans toute la pièce tandis qu’il jouait, les yeux fermés, ses doigts vibrant d’une essence particulière sur chaque touche. Quel bonheur. Il était dans un autre monde, oubliant ses problèmes, le présent, la réalité, le pourquoi de sa venue ici, la solitude même. Avec ce piano, il avait cette impression de communier avec la musique, de pouvoir effleurer cet art, de le sentir s’enrouler autour de lui comme jamais il ne l’avait ressenti. C’était particulier mais un pur bonheur.


Dernière édition par Andrew Jaxon HOFFMAN le Mar 7 Juil - 18:38, édité 1 fois
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Charlize V. O'Waikan
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MessageSujet: Re: & Nothing Else Matters   & Nothing Else Matters EmptySam 4 Juil - 14:15

    22h20 passées, la jeune femme se promenait encore dans le domaine de Midlothian, ne trouvant pas le sommeil, et n'ayant rien à faire, étant donné qu'elle s'était déjà occupée de son cheval, que son cabinet d'ostéopathie n'était pas encore terminé et que l'endroit où elle exerçait son petit boulot était fermé, à cette heure. Cela devait bien faire une heure, qu'elle errait dans les environs, profitant de cette balade pour visiter les lieux. Finalement, quelques minutes plus tard, prise d'un ennui total, elle s'assit sur un banc et observa le ciel. La jeune femme poussa un soupire et passa sa main dans ses cheveux blonds châtains, avant de sortir son téléphone portable de sa poche. 7 nouveaux messages, destinataire ; Maman. Elle pianota sur les touches durant quelques petites minutes, envoyant un texto à la personne qui avait tenté de la contacter pour lui envoyer ce qu'elle voulait ; des nouvelles. Oui, la maman de Charlize était bien connue pour être une mère poule. Quelqu'un d'assez attentif envers ceux qu'elle aime. Pas que ça déplaise à Charlize, mais elle avouera que cette attitude s'avérait un peu agaçante par moment. Pendant 5 petites secondes, la jeune femme fixa l'écran de son portable comme si elle attendait un appel, une réponse, ou quelque chose qui comblerait cette solitude accablante de la soirée. Mais rien ne sortit, alors elle poussa un nouveau soupire, ferma le clapet coulissant de l'appareil et le fourra dans la poche de son short en jean. Charlize releva la tête vers le ciel qui s'assombrissait le temps passant, et les étoiles, brillant déjà. Elle ne se lassait jamais des étoiles. La jeune femme blonde s'imaginait des tas de choses, en regardant ces astres lumineux. Bizarre, non ? C'est comme ça qu'était qualifiée Charlize par les autres filles, à l'époque. Bizarre, folle, étrange. Tous les adjectifs péjoratifs de ce genre. La jeune femme chassa toutes ces pensées de son esprit, et revint à la contemplation des petits points qui illuminaient le ciel. Soudain, un air musical parvint à ses oreilles. Se demandant d'où venait la mélodie, Charlize abandonna l'activité qu'elle exerçait quelque secondes plus tôt pour se concentrer là dessus. Elle se releva & écouta attentivement les notes de musiques qui formaient un son mélodieux & raffiné, bourré d'émotion. Cela lui fit souvenir les quelques années d'enfance où son père lui apprenait la flûte traversière & le violon, dont elle s'était vite lassé.

    « Je me demande d'où ça vient... »

    Curieusement, la jeune femme se mit à la recherche de la source musicale, se guidant à l'aide de son ouïe. Aprioris, elle déduisit qu'elle se dirigeait dans la bonne direction, puisque plus elle avançait, plus la musique se faisait entendre davantage & l'émotion que dégageait le morceau et le musicien ressentir. Pourquoi cela l'intéressait-elle autant ? La jeune femme trouvait la musique décompressante, et la première chose qu'elle faisait lorsqu'elle était énervée ou triste, c'était allumer sa chaine hi-fi et s'enfiler ses chansons préférées en boucles. La deuxième raison était le fait que le piano ne jouait pas tout seul. Il y avait bien quelqu'un qui activait ses doigts sur les touches d'ivoires, et c'était une bonne occasion pour faire connaissance et ne pas être seule durant la soirée, même si cette personne lui était encore inconnue. Charlize ne tarda pas à trouver la source. C'était la salle de réception, une grande salle somptueusement décorée bien que peu vivante. Cette pièce lui faisait penser au salles de fêtes comme dans les films. La jeune femme posa sa main sur la poignée de la porte, et la fit tourner doucement, puis entra discrètement dans l'enceinte de la pièce. Elle balaya les alentours des yeux, et son regard resta fixé sur un coin de la salle, plus vers le fond. S'approchant doucement, Charlize observa la silhouette qui bougeait au rythme du morceau, avant d'avoir une idée plus ou moins nette de la personne qui se trouvait derrière le piano. C'était Andrew Jaxon Hoffman, ce garçon plutôt beau qu'elle entrevoyait parfois quand elle montait. Se plaçant derrière l'homme, Charlize esquissa un sourire avant de se pencher au dessus de l'épaule du musicien et de lancer fièrement ;

    « Humm... Metallica, me trompais-je ? »
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Andrew Jaxon HOFFMAN
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MessageSujet: Re: & Nothing Else Matters   & Nothing Else Matters EmptyDim 5 Juil - 2:02

    Des pas, une voix, un son murmuré au creux de son oreille et la bulle que s’était crée Andrew s’effaça pour laisser place à l’écho de quelques notes à présent disparues. Le jeune homme ouvrit les yeux et essaya de récapituler ce qu’il venait de se passer. Il était en train de jouer Fade to black de Metallica au piano lorsqu’il entendit le grincement caractéristique de la porte de la salle de réception. Entièrement absorbé par sa musique et le rythme de note, il avait entendu d’une oreille distraite le bruit des pas d’une personne sur le plancher de la salle. Puis, il avait sentit le souffle chaud d’un humain surement dans son dos qui s’approchait et, enfin, une parole explicite. Ouvrant les yeux, il tenta de se remémorer les mots exacts qu’avait prononcé la voix féminine. C’était un truc du genre : « … Metallica… » oui, il y avait le nom du fameux groupe de métal dedans. Avec un léger découragement peu perceptible dans l’ambiance de la pièce, le jeune homme tentait de sortir de sa rêverie pour renouer avec le sol et la réalité. Enfin, les mots exacts de la jeune femme lui revinrent en mémoire.

    « Humm... Metallica, me trompais-je ? »

    Un fin sourire se glissa sur ses lèvres rosées tandis que ses yeux émeraude se refixaient dans la réalité. Il avait maintenant reconnu la voix. C’était celle d’une personne qui lui plaisait dans cette Académie. Une jeune femme qui répondait au doux nom de Charlize Waikan. Ou un truc du genre. Non, le nom sonnait plutôt genre fermier. Plutôt O’Waikan. Son sourire s’élargit lorsqu’il constata qu’il se souvenait du prénom entier de la jeune femme. Il glissa sur le siège et se tourna vers cette dernière, gardant ce sourire satisfait sur les lèvres. Son timbre de voix grave raisonna dans la pièce tandis que sa réplique fendait l’air entre les deux jeunes gens, l’œil pétillant, le sourire malicieux toujours de mise sur le visage du beau Jaxon.

    « En effet. Connaisseuse ? »

    Ben oui quoi. Ouvrir la conversation sur ses goûts musicaux c’était toujours mieux que de ne pas ouvrir la conversation du tout n’est ce pas ? Son regard dévia lentement vers son poignet où sa Rolex teintait dans les éclairages de la pièce. Les aiguilles indiquaient 22h45 ou dans les alentours. Tiens tiens, que le temps passait vite lorsqu’on s’occupait. Le jeune homme ne put s’empêcher pourtant de faire une petite réflexion à la blondinette sur l’heure qu’il était, toujours ce beau sourire sur les lèvres qui avait rarement fané.

    « Mais, dis moi, que fais donc une jeune fille comme toi à cette heure si tardive dans cette Académie si désespérément vide ? Serais-tu en train de faire le mur ? Ou un stratagème pour rencontrer un pauvre jeune homme seul également ? Non, tu n’es pas aussi tordue. Du moins, je l’espère. » Il eut un léger pouffement. Beaucoup de gens le croyaient fou et il ne put s’empêcher de le faire remarquer. « Je suis sur que tu me penses fou. C’est peut-être vrai mais qui ne l’est pas ? En tout cas, rassures toi, je ne te sauterais pas dessus et ne ferais aucune folie de ce genre car ce n’est pas du tout mon style. J’espère ne pas t’effrayer. »

    Et oui, beaucoup de personnes le pensaient fou. Il ne l’était pas, bien au contraire. Très intelligent, plutôt réfléchi et posé sauf en soirées où il partait souvent en vrille. Mais, en temps normal, il réfléchissait plutôt à haute voix ou du moins, exposait certaines de ses pensées à haute voix. Lorsqu’il avait prit cette habitude, à la mort de Devil, ses parents l’avaient emmené voir un nombre infini de psychiatre et autres psychologues pour vérifier son état de santé. Mais d’aucuns n’avaient conclu qu’il était fou. Peut-être un peu dérangé ! Non, c’est de l’humour. Certains ne comprenaient pas son sens de l’humour, d’autre ne le partageait tout simplement pas. Mais une chose était certaine avec Sir Hoffman, lorsqu’on rentrait dans son jeu, car tout ceci n’était qu’un jeu, on était certain de penser un peu de la même manière que lui et de comprendre ses expressions puisque tout ceci n’est qu’un jeu et que pour jouer à ce jeu, les règles n’ont pas besoin d’être connues. C’était l’essence même du flirt et de la drague. Un jeu à jouer à deux :P !
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Charlize V. O'Waikan
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MessageSujet: Re: & Nothing Else Matters   & Nothing Else Matters EmptySam 1 Aoû - 19:52

    Le jeune homme ne se retournait toujours pas, peut-être ne l'avait-il pas entendue ? Impossible. Charlize avait énoncée ses paroles assez fort, et Andrew avait cessé de jouer. La jeune femme se redressa, attendant une réaction de la part du garçon. D'ailleurs, elle s'attarda à l'observer un peu. Il ne changeait pas de toutes les fois où elle l'avait vu. Sauf les habits bien sur. Mais toujours la même carrure ; musclée. Le musicien semblait rêver, dans sa bulle, et Charlize venait de le casser dans son escapade. Elle commençait presque à se sentir coupable. Pourtant elle comprenait tout à fait Andrew. Se détacher de la réalité faisait un bien fou, parfois. Enfin, bref, quelques secondes plus tard, les échos des dernières notes éteints, le jeune homme ne se décidait toujours pas à faire face à Charlize, bien qu'il est eu l'air de réagir un peu, puisqu'il avait légèrement bougé. Malgré ça, la jeune femme se demandait quand même si en arrivant, elle le dérangeait. Elle s'apprêtait à s'excuser de l'avoir interrompu, mais à son plus grand soulagement, le beau brun se retourna vers elle. Sa voix résonna dans la pièce, sa voix grave mais pas agressive, Charlize la qualifierais même plutôt de mélodique.

    « En effet. Connaisseuse ? »

    Cette fois ci, ce fut au tour de Charlize de sourire. Elle plongea ses yeux bleus grisés dans les émeraudes d'Andrew, et repassa sa main dans ses longs cheveux blonds, brunis à certains endroits à cause de la saison, l'été. Son sourire s'élargit un peu plus, et elle prit cet air amusé tout en répliquant à Andrew, d'une voix plus aigüe que celle de son interlocuteur, mais pas crillarde, une voix plutôt chantante.

    « J'ai beau avoir l'air d'une greluche qui n'y connait rien en musique et qui sort en boite toutes les nuits, je connais les plus grands classique, quand même. Et puis, je suis pas comme ça, j'aime bien le rock & le métal. Je connais plus de groupes que j'en ai l'air ! »

    Un petit rire lui échappa, puis elle reprit ce sourire si habituel chez elle. Elle profitait de la vie comme elle était, et évitait de se soucier des bonnes ou des mauvaises choses qui lui arriveraient demain. Un léger tintement la tira de ses pensées, et ses yeux vrillèrent automatiquement vers la source du bruit ; le poignet de Mr. Hoffman. Elle esquissa un sourire en découvrant l'objet qui occupait le bras du jeune homme. Une Rolex. Machinalement, Charlize posa son regard sur sa montre, une montre plutôt simple, Swatch plus précisément. Beaucoup moins prestigieuse que celle de son interlocuteur, mais cette montre lui plaisait, alors qu'importe ? Puis c'est sa voix masculine qui attira son attention. Une voix masculine qui lui disait une petite remarque, d'ailleurs. Une remarque taquine, imaginais-t-elle.

    « Mais, dis moi, que fais donc une jeune fille comme toi à cette heure si tardive dans cette Académie si désespérément vide ? Serais-tu en train de faire le mur ? Ou un stratagème pour rencontrer un pauvre jeune homme seul également ? Non, tu n’es pas aussi tordue. Du moins, je l’espère. »

    « Je suis sur que tu me penses fou. C’est peut-être vrai mais qui ne l’est pas ? En tout cas, rassures toi, je ne te sauterais pas dessus et ne ferais aucune folie de ce genre car ce n’est pas du tout mon style. J’espère ne pas t’effrayer. »


    Charlize était sur le point de lui répondre, mais il avait reprit aussi vite qu'il avait commencé. Ce deuxième discours, par contre, la fit sourire. Au plus haut point. Elle allait répondre aux deux répliques d'un coup, ça irait plus vite, et ça avait donc évité de le couper pendant qu'il parlait. La jeune femme balaya la pièce du regard, et une chaise au coin de la pièce, près du piano, retint son attention. Elle se dirigea vers elle, l'empoigna et la déplaça jusqu'à Andrew, pour s'asseoir à ses côtés.

    « Je ne fais pas le mur, je m'ennuie, c'est tout autre chose. Et je ne savais pas que tu serais ici à cette heure. Je te rappelle que je pourrais te renvoyer exactement la même question... ou presque, disons. » Un grand sourire se peignit sur le visage de la jeune femme, puis elle reprit, d'une voix nostalgique, cette fois ci. « Et puis, je ne te pense pas fou, ne t'inquiète pas. Ce n'est pas toi qui te prélasse devant les étoiles durant des heures et des heures sans t'ennuyer ! Et en plus... Je, disons, j'ai trop souvent été la cible de moqueries & de remarques de ce genre pour juger qui que ce soit, on va dire. Alors ne t'en fait pas pour ça, tu ne m'effraies pas, et si on te dit souvent que t'es taré, dans tous les cas, on sera au moins deux, aux yeux des gens. »

    Pour une fois, le sourire qui s'affichait sur le visage de Charlize était plus mélancolique que joyeux. En effet, elle avait souvent été le souffre douleur de toutes les filles & de quelques garçons, à l'époque. Ils ne rataient jamais une occasion pour se payer sa tête. En un sens, ça lui fit plaisir de savoir qu'elle n'était pas la seule considérée comme un peu folle, dans ce monde. Certes, elle était un minimum réaliste et savait qu'ils n'étaient pas que deux, mais ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas rencontré quelqu'un qui avait ce point commun là avec elle. Cette pensée là, en revanche, fit renaitre sur ses lèvres ce sourire heureux.
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