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| | Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) |  |
| | | Auteur | Message |
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| | Sujet: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Mar 16 Juin - 22:15 | |
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▌ It Was Once ;
•• Nom de Naissance ; Stun Mint
•• Papiers ; ONC
•• Age du cheval ; 8 ans
•• Sexe du cheval ; Etalon
•• Race du cheval ; Comtois
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•• Prix ; 6000 $
•• Propriétaire ; Andrew Hoffman
•• Registre des Propriétaires ;
- Midlothian Institute
- Andrew Hoffman
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▌ Time's Now ;
Monté .
•• Dressage ; 142 Points
•• Obstacle ; 97 Points
•• Cross ; 22 Points
•• Course ; oo Points
•• Attelage ; oo Points
•• Monte américaine ; 12 Points
•• Jeux & Pony games ; 13 Points
•• Endurance & Rando ; o8 Points
•• Longe ; 13 Points
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•• Confiance ; 231 Points
•• Moral ; 119 Points
•• Forme ; 1oo Points
•• Éducation ; 223 Points
•• Travail en main ; 21 Points
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▌ Carnet de Santé & Appréciations ;
•• Généalogie ; Naissance extérieur au domaine
•• Fertilité ; 0.40
•• Descendance ; Aucune pour le moment.
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•• Points Forts ;
- Attelage & Randonnée
- Obstacle
•• Points Faibles ;
- Course & Obstacle
- Course
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▌ Compétition ;
•• Nombre d'engagements ; Aucun
•• Nombre de classements ; Aucun
•• Points d'expérience du cheval ; oo points
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| | | | Andrew Jaxon HOFFMAN
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| | Sujet: Re: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Lun 29 Juin - 21:24 | |
| & now the complicity can start
Le soleil commençait à décliner en cette journée qui avait, pourtant, était ensoleillée et chaude. Andrew était arrivé depuis quelques heures seulement à l’Académie, le temps de ranger ses affaires et d’avaler un p’tit truc à manger. Le beau brun s’était changé rapidement, ne prenant pas le temps de visiter l’Académie et préférant aller directement vers les box et sa sellerie. Il en sortit un licol et une longe en cuir marron et se dirigea vers le box de sa nouvelle monture. Lorsqu’il arriva devant, il déchiffra avec joie la pancarte : « Stun Mint ». Avec un sourire, ses beaux yeux émeraudes se levèrent vers le box et … Mais où était la bête ?!
« C’est une blague ? »
Il fronça les sourcils et regarda la porte du box. Un planning était affiché sur ce dernier. Le beau brun lut les horaires du jour qui concernaient son cheval. Apparemment, Sun était au paddock. Le jeune homme se dirigea vers l’endroit qu’il avait aperçu sur son chemin. Lorsqu’il arriva près des paddocks, il vit son entier qui trottait derrière les barrières de bois. La tête haute, le port d’encolure fier, il semblait parader derrière les morceaux de bois. Il observa quelques minutes le beau comtois avant de siffloter et de s’avancer vers la monture. L'entier à la robe dorée pointa ses oreilles vers lui et l’observa de ses beaux yeux noirs. Finalement, il arrêta de trotter et s'arrêta près de l'abreuvoir, continuant d'observer son cavalier qui s'approchait franchement. Il enfila son licol sur l'épaule et posa sa main sur les naseaux noirs de la belle bête. Le souffle de Stun était chaud et ses naseaux étaient entièrement dilatés. Finalement, il se désinteressa de la main de son cavalier et partit dans un autre coin du paddock, observant les alentours. Andrew eut un sourire. Il appela l'animal et enjambe les barrières de bois. S'avançant prudemment mais franchement vers l'entier, il l'appela, préférant garder des distances, au cas où l'animal se révèlerait un peu instable.
« Stun Mint. Boy ... Little boy. Kommst da Junge. Bitte. »
L'entier retourna la tête vers le jeune homme, accrochant son regard dans les yeux émeraudes du beau brun. Il ne fit aucun pas vers l'humain, le fixant tandis que celui-ci continuait d'avancer. L'animal ne fit aucun geste pour s'enfuir ou pour témoigner un surplus d'intérêt au jeune homme. Andrew sourit. Lorsqu'il fut aux côtés du trait, il passa la longe sur l'encolure puissante et musculeuse de l'animal puis, enfila le licol sur les naseaux de Mint. Ce dernier ne bougea pas, continuant de fixer le p'tit humain qui venait le chercher. L'admiration pour Jaxon commença. le comtois était constitué d'une masse musculaire impressionante. Ses mouvements amples le rendaient encore un peu plus admirable. Finalement, Andrew se mit en marche, tendant la longe pour inciter le bel isabelle à avancer à sa suite. Il sortit du paddock suivit de sa monture qui avait une allure IM-PRE-SSI-O-NAN-TE. Certains cavaliers se retournaient pour admirer le cheval de trait. C'est vrai: il est rare de trouver un cheval de trait dans une académie de compétition. Heureusement pour Andrew, il avait l'habitude de monter des chevaux que d'autres ne montaient pas, d'admirer des chevaux que d'autres trouvaient laids. Mais, tout dans l'anatomie de Stun le rendait attirant aux yeux du bel anglais.
Il amena sa monture à la dalle de pansage en béton près de l'écurie de Raleigh. Il fit un noeud d'attache rapide mais légèrement lâche, laissant la corde longue au cas où sa bête se sentirait un peu trop prisonnière. Il ne le connaissait pas assez pour juger la manière d'attacher Stun. Sa boîte de pansage se trouvait déjà sur la dalle. Mais Andrew ne comptait pas commencer le pansage de cette manière. Il laissa glisser ses mains le long du corps de l'animal, admirant ses muscles tous tendus et près du corps. Il détecta également une jolie petite couche de graisse sur le corps parfait de l'animal. Grand, gros, baraqué, il lui plaisait bien ce p'tit cheval. Au moins un mètre quatre vingt cinq au garrot. Bon, je vous l'accorde, Andrew mesurait environ un mètre quatre vingt à peu près. Il faisait quelques papouilles à sa monture puis, finalement, se décida à prendre un cure pied. Il laissa glisser sa main le long de l'antérieur gauche de sa monture. Attrapant les fanions fournis de l'animal, il commença à faire assimiler à sa monture quelques ordres vocaux du genre:
« Donne. »
L'entier ne semblait pas tellement décidé à donner le sabot. Il reporta son poids sur cet antérieur. Je dois vous avouer que six cents kilos et quelques poussières peuvent rendre difficiles un pansage. Andrew soupira et commença à tenter de faire jouer ses soixante quinze kilos contre ceux de sa bête. Rien n'y fit, l'autre ne daigna pas bouger un sabot. Nouveau soupir de la part de l'anglais et nouvel essai. Infructueux. Troisième soupir. Jamais deux sans trois n'est ce pas ? Nouveau test. Les forces du soldat diminuaient contre la jambe de l'ennemi. Finalement, le danois du ruser pour pouvoir prendre le sabot. Ce fut un bout de carotte qui fit gagner la bataille. Disposé au bon endroit, il lui permit de prendre le sabot. Le cure pied bien en main et le sabot coincé dans le genou, et commença à gratter avec des mouvements vigoureux la sole de sa bête pour retirer terre dure et crottins coincés dans la sole.
« Et ben enfin. C'est bien le beau gosse ! »
Il attaqua les autres sabots. Bien heureusement, les autres essais furent beaucoup plus fructueux et, après une bonne demi/heure d'acharnement, l'animal donna enfin le dernier sabot. Ceci étant fini, Andrew prit une étrille américaine et retira la couche de boue et de poussière qui s'étaient accumulées sur la belle robe de l'entier. Le corps de l'animal était, comment dire, passionant. Un assemblage impressionant de muscles, de force, de graisse et de lourdeur qui donnaient aux chevaux de traits une grace et une majestuosité impressionante. C'était ces traits physiques qui plaisaient autant à Mr Hoffman. Il avait envie de monter sur son dos après le pansage mais était-ce rééllement une bonne chose ? Il prit donc son étrille et continua le pansage prodiguant à sa monture une certaine forme de pansage. Stun n'était pas très réceptif visiblement aux pansages et autre, il gardait simplement une oreille tournée vers la personne inconnue qui le tripotait. Cela arracha un sourire au beau brun qui, pourtant, ne dit rien pour attirer l'attention sur lui. Il continua son pansage par un coup de bouchon puis de brosse douce avant de finir par un bon démêlage de crins de la bête qui étaient tout emmêlés. Ceci fait, il se mit à réfléchir attentivement: bonne ou mauvaise idée de monter maintenant. Finalement, il trancha la question et décida de seller la bête pour partir faire une balade dans l'Académie, juste tester un peu la bête en dehors d'une carrière. De toute manière, Andrew avait plus l'habitude de l'extérieur que des carrières.
« Aller p'tit mec, on va se préparer. »
Il partit en direction de sa sellerie pour prendre son tapis de selle, son amortisseur et sa selle de dressage. Non pas qu'il avait l'intention de faire du dressage mais elle était tellement confortable qu'il ne voulait pas s'en séparer. Il commença à seller la bête et se rendit compte que sa sangle avait été largement agrandie pour permettre à ce type de chevaux d'être sanglés. Ca changeait de spurs sang anglais anorexiques qu'il montait à une certaine époque. Un sourire sur les lèvres, il ajusta le tapis et l'amortisseur avant de dégarotter puis déposa délicatement la selle sur le dos massif et large de Stun. Il laissa glisser la sangle de l'autre côté du corps de la bête et la prit délicatement, faisant attention à sangler progressivement. De toute façon, il aurait bien pu le sangler violemment que l'autre n'aurait pas réagi, il était un peu trop concentré à observer des cavaliers au loin pour faire attention à son cavalier quoiqu'une de ses oreilles restait pointée vers l'autre humain qui s'occupait de lui. Finalement, Jaxon retira le licol au comtois qu'il lui mit en collier afin de pouvoir lui passer le filet. Stun n'opposa aucune résistance mais le danois fut surpris de constater que le cheval semblait tout le temps le fixer étrangement. Qui était vraiment cet animal et quelles étranges surprises lui réservait-il ? L'anglais préféra poser une bombe sur sa tête plutôt que la casquette qu'il utilisait d'habitude pour les purs sangs anglais. Finalement, il retira le licol à sa monture et le fit descendre de la dalle de pansage. Avec souplesse, il se hissa sur le dos de l'animal IM-MEN-SE qu'il avait décidé d'acheter. Le sol lui paraissait bien petit sur le dos de cette montgolfière. De plus, lui qui était tellement habitué à sentir un corps fin entre ses cuisses fermes ressentait plutôt une patate mais une patate de six cent kilos de muscles et de force. Au secours !
« Ok boy. On va aller faire un tour. »
Le jeune homme s'attendait à trouver un animal qui n'avançait pas et sans aucune impulsion et bien que la pression qu'il devait exercer avec ses mollets était plus puissante que sur ses coursiers habituels, Stun répondait bien aux jambes. De plus, il semblait n'avoir aucunement besoin des mains pour se diriger étant à fortiori très sensible aux jambes. L'anglais eut un sourire et flatta l'encolure de sa monture préférant quand même utiliser les rênes pour se diriger. Il les garda mi-longues et tous deux firent un tour de l'Académie tranquillement pour observer les alentours et voir un peu les chemins de balade qui les attendraient. Car Andrew comptait sur les balades pour faire travailler son entier autant qu'il comptait sur les carrières. Leur promenade dura une bonne heure et demi et révéla un comtois attentif à son cavalier et à l'environnement, possédant un pied sur et du sang froid ce qui se révélait très agréable. De plus, il avait de bonnes allures plutôt confortables bien qu'Andrew ne testa que la pas et le trot. Il demanda un chassement de hanches et une petite incurvation qui trouvèrent une certaine raisonnance dans sa monture. C'est tout sourire que le danois ramena sa bête à son box après avoir retiré ses affaires et un petit pansage.
« Good job dude. »
Il lui versa des carottes, de l'orge et de l'avoine dans la mangeoire. Je précise tout de même les doses au cas ou ! Il lui versa environ un kilo de carotte et une poignée d'orge et d'avoine qu'il mélangea avec de l'eau. L'entier sembla apprécier le mélange et, après que son propriétaire ait un peu inspecter son box et les écuries, put se détendre seul et tranquillement sans la pression d'un petit humain gigotant autour de lui. Andrew sourit. La suite s'annonçait très profitable pour tous les deux ! Il prit sa moto et se dirigea vers son appartement afin de découvrir un peu qui était donc son colocataire. | |
| | | | Tomáš Veígl
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| | Sujet: Re: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Mer 1 Juil - 17:12 | |
| NOTATION DU TEXTE DE ANDREW JAXON HOFFMAN Cheval : Stun Mint
Date de l'entraînement : 29.o6.o9
Écurie : Raleigh
+ Bonus : + 4D
Points maximum ( sans bonus écurie ) : + 32 (F) ; + 32 (M); + 32 (C) ; + 32(E) [ 141 Lignes ]
Points obtenus : + 32 (F) ; + 32 (M); + 32 (C) ; + 32(E)
Bien écrit et un nombre de fautes qui frôle le zéro, rien à dire ! ^^ Points ajoutés | |
| | | | Andrew Jaxon HOFFMAN
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| | Sujet: Re: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Sam 4 Juil - 0:38 | |
| « Hey ho, let’s go. »
Andrew sifflotait joyeusement dans les écuries de Raleigh, se préparant à commencer une nouvelle journée avec son splendide comtois qu’il avait vraiment prit en grande affection. Il semblait que la journée démarrait bien, l’entier ayant pointé le bout de son nez hors de son box pour la première fois depuis sa rencontre avec le beau gosse. Lorsqu’il le vit s’approcher, il souffla légèrement des naseaux, semblant appeler son propriétaire qui eut un grand sourire et vint lui frotter avec amour le bout des naseaux. L’entier leva bientôt la tête, semblant mi-agacé des câlins de son propriétaires, mi-heureux de l’affection que lui portait ce dernier. Finalement, il pointa bien droites ses oreilles sur le licol que venait de saisir Andrew, comme s’il prenait plaisir pour les deux heures qui allaient venir. Quand j’dis deux heures, ça veut dire quarante cinq minutes de boulot et tout le reste en pansage et en gratouillage divers ! Les beaux yeux noirs du comtois avaient rapidement amadoué le cœur du beau brun, et avaient balayés d’une tempête tous ses préjugés sur les chevaux autres que les pur sangs. Celui-ci avait quelque chose ancré au fond de lui-même qui le rendait inoubliable pour quiconque avait un peu l’œil. Tout dans son art de se porter et de se déplacer le rendait attirant. Andrew eut un sourire et enfila le licol sur les naseaux noirs du comtois. Il l’ajusta puis ouvrit grand la porte et sortit, suivit de son camion comme l’appelait Soren. Un peu plus grand que la moyenne des chevaux de race comtoise, même beaucoup plus grand, environ quinze centimètres de plus que la moyenne, le bel alezan avait fier allure dans l’écurie de Raleigh aux ¾ composée de beaux chevaux tous fins et de race.
« Mais toi, tu es bien le plus magnifique des chevaux de Raleigh. Même de Midlothian. »
Andrew et Stun Mint sortirent de l’écurie et se dirigèrent vers la dalle de pansage. Un nœud de pansage fait rapidement mais surement qu’il vérifia soigneusement et une caresse sur l’encolure puis, le jeune homme laissa glisser ses mains sur tout le corps de sa monture. Il lui touchait doucement le dos, vérifiant qu’il n’ait pas de courbatures ou autre qui rendaient, généralement, le travail difficile. Lorsqu’il fut certain que tout allait bien sur l’entier, le danois commença son pansage différemment. Il avait décidé de commencer par s’occuper soigneusement des crins de sa monture. Mais c’était en toute délicatesse et sans démêlant quelconque car il préférait nettoyer les crins de l’entier avec une brosse. Ainsi, il pourrait ensuite bien natter les crins à sa guise. Il commença par la queue qu’il démêla mèche par mèche. C’était un travail fastidieux puisque l’entier avait des crins très fournis. Mais Jaxon avait le temps, il préférait prendre soin de son cheval. Et puis, de toute manière, il aimait bien s’occuper de Stun. L’entier n’était pas chiant au pansage et restait calme. Enfin, calme, c’est vite dit. Autant le jour de leur rencontre, Mint était amorphe, autant, depuis qu’il connaissait mieux Andrew, il devenait beaucoup plus vivant et un peu facétieux. Il farfouillait dans sa boîte de pansage, fouillait les poches de sa monture pour trouver un quelconque morceau de carotte ce qui faisait bien rire le beau brun. Il le punissait de son comportement d’une petite tape sur les naseaux puis retournait s’occuper de sa queue. Enfin, essayait. L’entier s’était mis en tête qu’il devait maintenant bouger sa croupe dans tous les sens, essayant, pas la même occasion, d’emmerder un peu plus son cavalier. Pourtant, têtu comme une mule et très persévérant, le jeune homme continua son travail jusqu’à avoir des crins soyeux et bien démêlés. Ceci fait, il les natta avec une tresse africaine, descendant jusqu’à la fin du couard, cette partie rigide de la queue. Puis, se fut le tour de la crinière qui fut un peu moins complexe à démêler quoique l’entier ni mettait pas du sien. Il se sentait obligé de toujours secouer sa crinière dès qu’une mèche était presque démêlée ce qui ne découragea pas Jaxon qui finalement réussit à lui démêler entièrement crinière et toupet. Il les natta soigneusement sous la forme de pions qui furent une belle réussite pour le jeune homme vu la quantité de crins que possédait l’entier. Pourtant, il ne souhaitait pas les couper. Ô grand dieu, jamais il ne ferait subir une telle aberration à son beau comtois qui était fait pour avoir les crins et les fanions bien fournis. Mini-apollon termina d’ailleurs son pansage par le démêlage des fanions de l’entier qui étaient, comme je le disais précédemment, très fournis et surtout, avait besoin d’un coup de brosse quotidien pour rester un minimum agréable à regarder. Lorsqu’enfin cette partie du toilettage fut terminée, Andrew commença à curer les sabots de sa monture. Cette dernière les donnait beaucoup plus rapidement ce qui fit sourire le jeune homme. Il lui enseignait tous les jours les ordres vocaux et, au fur et à mesure de ce travail quotidien, l’entier semblait devenir de plus en plus accessible pour le jeune homme et semblait également lui accorder plus de crédit et de confiance ce qui était une bonne chose pour le danois. Ainsi, la suite du pansage fut très agréable, le comtois ne refusant pas le contact avec son cavalier. L’anglais lui passa également un rapide coup d’étrille et de bouchon afin de retirer la poussière quasi inexistante dans le poil de sa bête. Heureusement pour lui, les pansages qu’il avait l’habitude de prodiguer et cette aptitude de l’entier à toujours rester propre jouaient bien en sa faveur.
« Aller p’tit joueur, on s’harnache et let’s go ! »
Andrew laissa son animal seul durant quelques minutes, le temps d’aller chercher son porte selle dans sa sellerie où ses affaires de CSO étaient préparées en avance. Il compléta rapidement ses affaires et se dirigea en sifflotant vers la dalle de pansage où Stun l’attendait. Ou plutôt, était censé l’attendre. Lorsqu’il arriva sur la dalle de pansage, il appela son entier d’une voix claironnante, son timbre grave raisonnant dans le confinement de l’écurie. Quelques chevaux sortirent la tête de leur box pour voir d’où venait l’origine de ce vacarme. Andrew n’en avait cure. Lorsqu’il se trouva à l’extérieur, il remarqua avec surprise que son cheval avait disparu. Tout simplement disparu. La longe pendant à l’anneau, se tenant encore par l’ex nœud d’attache qu’avait fait le bel anglais juste après être allé chercher sa monture. Il soupira.
« Qu’est ce qu’il m’a fait encore comme connerie celui là. J’étais sur qu’il était trop gentil pour être sincère. »
Avec un soupir, il partit en courant dans les dédales de l’extérieur de l’Académie, cherchant vainement sa monture qui semblait prendre un malin plaisir à rester invisible aux yeux de son propriétaire. Ce dernier couru dans une bonne partie de l’Académie sans trouver une trace de sa monture, cette dernière semblant s’être enfuie à travers champs. Andrew soupira et appela clairement son entier, par son nom qui plus est. Il l’appela une dizaine de fois jusqu’à finalement entendre quelqu’un crier.
« Monsieur, monsieur ! »
Jaxon se dirigea vers la source probable de ces bruits courant presque pour trouver cette personne. Enfin, il l’aperçut. Un jeune homme tenait un grand comtois dans le licol. Ce dernier lui jetait un regard tendre dans ses grands yeux noirs. Il ne s’était surement pas roulé. Andrew questionna rapidement son sauveur qui lui avoua qu’il l’avait trouvé dans la grange en train de se goinfrer de granulés et d’avoine. Le danois soupira et remercia joyeusement la personne qui lui avait retrouvé Stun. Puis, il saisit le licol du grand cheval et soupira, en le fixant droit dans les yeux. L’entier tentait de l’amadouer à base d’un regard empli de tendresse et de douceur qui désespéra à moitié Andrew. Visiblement, il ne pouvait toujours pas résister à ce regard digne du chat potté. Il soupira une deuxième fois et le ramena sur la dalle de pansage. Il tenta de réparer comme il le put la longe et constata que, en fait, elle n’était pas cassée. Avec un sourire joyeux, il remit l’anneau à sa place et passa un coup de brosse sur son corps. Bien heureusement pour lui, le comtois ne s’était pas roulé et n’avait pas fait un tour dans un endroit poussiéreux. De plus, avec sa grande chance, l’entier n’avait pas non plus complètement détruit son travail de nattage qui lui avait prit plus de trois quarts d’heure.
« Punaise mais t’es vraiment qu’un gros ! Tout ça pour te goinfrer. »
Avec un soupir, Andrew lui repassa tout de même un coup de brosse et lui passa directement le licol en collier pour éviter toute autre fuit lorsqu’il aurait le dos tourné ou quoi. Il le brida rapidement, lui donnant ainsi la sensation d’être prêt à être monté. Puis, il lui posa le tapis et l’amortisseur sur le dos suivi de sa selle mixte dont les étriers étaient réglés en taille obstacle. Il le sangla délicatement et progressivement, de manière à éviter de déclencher chez l’entier une réaction de chatouilleur et de ne pas le braquer contre le sanglage qui était généralement une opération délicate chez les chevaux. Il posa ensuite ses protections taille XXL sur les membres de sa monture et se prépara pour le CSO. Lorsqu’il fut enfin prêt, il emmena son cheval vers la carrière de CSO où il avait préparé un petit parcours d’initiation à sa monture.
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| | | | Tomáš Veígl
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| | Sujet: Re: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Dim 5 Juil - 19:24 | |
| NOTATION DU TEXTE DE ANDREW JAXON HOFFMAN Cheval : Stun Mint
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Points maximum ( sans bonus écurie ) : + 28 (F) ; + 28 (M); + 28 (C) ; + 28(E) [ 122 Lignes ]
Points obtenus : + 28 (F) ; + 28 (M); + 28 (C) ; + 28(E)
Attention, les chevaux ont des fanons, les fanions c'est genre sur les parcours de saut, les p'tits drapeaux ^^ Points ajoutés | |
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| | Sujet: Re: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Mar 7 Juil - 22:25 | |
| Intervention bonus : Stun est un petit coquin ! Une fois la nuit tombée le beau trait a réussi par on ne sait qu'elle moyen a sortir de son box pour aller se ballader dans les champs loin derrière MI. Il est revenu le matin et un palefrenier à fermer la box du fugueur. Tout content mais un peu fatigué Stun gagne + 5 pts de moral
- 3 pts de forme. Points ajoutés. | |
| | | | Andrew Jaxon HOFFMAN
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| | Sujet: Re: Stun Mint ; Comtois {E (andrew j. hoffman) Lun 13 Juil - 22:31 | |
| « Parce que l'amitié naît dans le coeur des braves et des méritants .. »
& cette splendide journée commençait par le sifflement caractéristique qui précédait l'arrivée d'Andrew Jaxon Hoffman aux écuries de Raleigh. Comme tous les matins, il venait s'occuper de son splendide cheval, Stun Mint, un magnifique comtois de huit ans aux qualités remarquables en dressage et doté d'une polyvalence qui en étonnaient beaucoup. De plus, il était très facile comme entier, cherchant vaguement à s'imposer mais se comportant surtout comme un hongre, sauf avec les juments. En chaleur ou pas, le danois avait déjà fait le test, son cheval était quasiment incorrigible avec les juments, hennissant à tire la rigot et bougeant dans tous les sens, tentant de leur sauter dessus par tous les moyens possibles et d'arracher la longe aux mains de son cavalier. Et, si je vous parle de juments, c'est parce que, même si Andrew ne le savait pas, il allait croiser dans très peu de temps une jument durant son entraînement ce qui promettait quelques difficultés au jeune homme durant son entraînement mais ça, c'est une autre histoire.
Le beau brun avançait donc tranquillement dans les écuries de Raleigh, se dirigeant vers un box précis: celui de Stun Mint, dans le quart ouest de l'écurie, bien loti dans un endroit où l'hiver n'atteignait que rarement les box. Donc, bien situé. Le jeune homme s'approcha du box et se saisit du licol accroché sur le crochet juste à côté de la porte d'entrée. Il était marron, tout en cuir comme la longe. Le beau brun appela doucement Stun qui ronfla des naseaux et sortit la tête du box. Il vint poser sa tête sur l'épaule de son cavalier dans un signe d'amitié qui fit sourire Andrew. Ce dernier glissa ses mains le long de la joue puis de l'encolure de son cheval, sentant la musculature à fleur de peau de sa monture. Il lui flatta durant quelques minutes l'encolure avant de glisser sa main vers le loquet de la porte. Ses doigts effleurèrent la plaque en cuivre qui garnissait l'entrée du box: « Stun Mint, Etalon Comtois de 8 ans, Approuvé par les Haras Nationaux ». Les mots inscrits sur cette plaque, Andrew les connaissaient par coeur. Il était relativement fier de la dernière phrase inscrite sur la belle plaque de cuivre. Son étalon était approuvé par les Haras, ce qui était excellent pour Andrew. Il pourrait ainsi devenir peut-être un bon reproducteur et serait peut-être connu par les autres. Le beau brun souhaitait à tout prix à obtenir un élevage de comtois. Il voulait passer ses deux galops pour pouvoir obtenir un nouveau cheval, si possible une jument afin de développer son élevage en prévision dans sa tête :D
« Aller mon ours, je rentre. »
Il ouvrit le loquet et ouvrit légèrement la porte, pénétrant dans l'espace clos. Son étalon posa un regard doux sur son cavalier et posa ses naseaux sur ses mains, farfouillant ensuite à la rechercher d'une quelconque friandise. Il avait vite appris qu'Andrew avait toujours un petit truc à manger dans ses poches. Le beau brun sourit et lui passa le licol sur le nez. Il vérifia rapidement la mangeoire et l'abreuvoir. La mangeoire était vide: bon signe, son cheval s'alimentait correctement mais le danois décida de nettoyer l'abreuvoir automatique qui était sale. Des brins de foin s'agglutinaient dans l'eau qui était fraiche. Andrew retira les brins de paille et toute l'eau de l'abreuvoir puis il fit couler de l'eau propre dans le réservoir, renouvelant ainsi l'eau de son cheval. Ce dernier ne semblait pourtant pas assoiffé, il n'avait pas les reins creux ni rien. L'anglais lui flatta l'encolure et prit la longe qu'il avait laissée contre l'encolure de son cheval. Il la prit dans ses mains et ouvrit en grand la porte du box, avant de sortir, suivi de son grand cheval qui observait les alentours, comme tous les jours où il sortait de son box. L'entier était délicat à la sortie de son box et s'était une bonne chose. En effet, la sortie était glissante et un cheval de son poids et de sa carrure sortant à toute vitesse devenait dangereux pour lui même et son cavalier. Déjà qu'un poney sortant de son box à toute vitesse était dangereux alors un comtois, n'en parlons pas. L'alezan était pourtant très bien éduqué en main malgré le fait qu'il voulait toujours passer devant son cavalier en extérieur. Mais cela, Andrew le corrigeait au fur et à mesure et son animal s'était fortement amélioré depuis leur première rencontre.
Andrew et Stun Mint sortirent à l'extérieur de l'écurie et le soleil qui était déjà levé les éblouis légèrement. Les deux compères marchaient à présent côte à côte, le mini Apollon s'assurant simplement que l'épaule de son cheval ne le dépassait pas. Cette fois, Stun se fit sage et resta au même niveau que son cavalier, lui prouvant ainsi une partie du respect et de l'affection qu'il lui accordait. Andrew l'emmena sur la dalle pour l'attacher à l'anneau de pansage. Il passa la longe dans l'anneau et fit une boucle, puis une seconde et une troisième pour que le bout de la longe ne traîne pas sur le sol. Lorsque ce fut fait, le beau brun laissa son cheval seul quelques minutes et alla chercher ses affaires dans la sellerie. Son porte selle était déjà prêt, portant la selle mixte, le tapis, l'amortisseur, les protections, le filet et la boîte de pansage. Lorsque le danois revint sur la dalle, son cheval était encore là. Il n'avait pas fugué comme la dernière fois ce qui rassurait Andrew. Le jeune homme posa son « caddie » près de sa monture mais commença la séance de pansage par un petit massage le long de sa colonne dorsal et à la base de son encolure. C'était un massage simple: des mouvements circulaires de doigts ou alors, des roulers palpers. Tout ceci dans le simple but de détendre sa monture avant le pansage. Bien sur, ce n'était pas effectué comme un ostéopathe équin mais Andrew avait prit l'habitude de faire ça tout le temps avant de monter. Son cheval se détendait dans ces points stratégiques et acceptait mieux le contact de son cavalier sur son dos.
Après quelques minutes, Andrew cessa ses massages et se saisit du cure pied. Il descendit lentement sa main le long du membre de son entier et demanda: « Donne ». Ses ordres vocaux de tous les jours montraient enfin toute leur efficacité. Le comtois donna immédiatement son sabot. Heureusement pour le danois, les plaques qu'il avait fait installé sur la sole et la fourchette de son cheval étaient devenues très utiles puisqu'elles permettaient à Andrew de retirer toutes les saletés du box de son sabot sans abimer les parties du pied les plus sensibles et les plus importantes à entretenir: fourchette et sole. De plus, cela permettait d'éviter que l'humidité du box ne vienne abimer ces dernières. Il cura donc rapidement la plaque avant de passer au postérieur. Son cheval le donnait un peu moins bien que les antérieurs mais le beau brun le félicita. Il continua sur les deux autres membres. Ceux là, Stun les donnait moins, s'amusant à peser de tout son poids sur les membres que tentait vainement de prendre Andrew. Mais, finalement, il réussit en lui pinçant légèrement le bas du tendon et le haut du boulet. L'entier céda et lui donna finalement son sabot. Le beau brun nettoya les deux latéraux puis prit son étrille.
« Aller, on étrille. Sale ours va, tu m'as bien fait galérer ! »
Le beau brun prit son étrille et commença à la passer en cercles concentriques sur les poils alezans de son beau cheval de trait. Il retira la poussière de cette manière et les poils morts qui trônaient sur son corps. De plus, il massait légèrement son cheval et lui permettait de se détendre tout en douceur. Il retirait les poils qui formaient son ancien poil d'hiver et se faisaient remplacer par le beau poil d'été du comtois. Andrew avait beaucoup de poils accrochés sur son tee shirt. Son entier deviendrait un vrai nounours cet hiver, il en était certain. Le jeune homme continua de grattouiller le cours de sa monture avec son étrille qu'il fit glisser sur son encolure puis sur les bords de son dos, sa croupe et ses reins et le haut des cuisses. Le danois sortit ensuite son bouchon. Il le passa le long de l'encolure, des flancs et du dos, des membres, de la croupe et des reins, retirant ainsi les poussières en surface, les poils que l'étrille avait décollé et les diverses saletés. Andrew avec cette brosse vérifia également que son entier ne s'était pas blessé durant la nuit et qu'il n'avait pas de gonflements au niveau des tendons ou quoi. Le jeune homme sortit sa brosse en chiendent et nettoya avec soin la paroi des sabots de son cheval, retirant les saletés dessus. Certes, ce n'était pas comme un toilettage mais il avait toujours aimé que son cheval soit propre des naseaux au bout de la queue en passant par les sabots. Alors, il lui faisait un décapage complet. Bon, c'était un peu idiot vu que juste après, il savait que son cheval allait transpirer durant l'entraînement, la course étant une discipline exigeante. Le jeune homme continua tout de même son pansage, démêlant les crins de sa monture soigneusement. Il commença par la crinière qu'il démêla crins pas crins et natta avec soin. Ca éviterait à sa monture d'avoir trop chaud durant l'entraînement et de se salir les crins s'il transpirait trop. Il lui fit des pions. C'était assez long à faire et très très délicat mais, finalement, il réussit bien et fut satisfait de son résultat. De même, il adopta un pion au niveau du toupet de sa monture et lui fit une tresse africaine sur la queue. Sa tresse de queue descendait très bas, allant jusqu'à la toute fin du couard. Lorsqu'il avait été plus jeune, Andrew avait reçu des cours de toilettage de chevaux. Il savait donc faire parfaitement tous les nattages possibles et les tresses de queue était ce qu'il maîtrisait le plus. Bon, ce que ses parents ne savaient pas c'est que sa prof avait finalement terminé dans son lit m'enfin. A cette époque, ses parents pensaient encore qu'il était sage, n'avait jamais touché ni à l'alcool, ni à la drogue, ni à la nicotine mais c'était bien peu le connaître. Son père n'était quasiment pas présent et sa mère n'était pas là non plus et même si leur famille était unie, le beau brun avait toujours pu faire ce qu'il voulait. Sa première fois ? C'était à 13 ans avec une fille de quinze ans. Alors, dans le genre angélique, la beau brun n'était pas le premier de la liste. Son entier lui fouetta le visage avec sa queue ce qui réveilla légèrement Andrew qui s'était égaré dans ses souvenirs. Il sourit et tapota la croupe de sa monture, terminant sa tresse de queue. Lorsque ce fut fait, il lui passa un bon coup de brosse douce sur le corps, nettoyant les poussières qui étaient tombées des crins de sa monture quand il les avait démêlés. Il faisait attention à ce qu'il ne reste aucune poussière sur le corps de son monture avant de seller et lorsqu'il eut enfin vérifié, le danois prit sa selle mixte ainsi que son tapis de selle rouge. Il posa le tapis avec la selle par dessus et un amortisseur en dessous. Puis, il posa des protections sur ses membres, faisant attention à bien protéger les tendons de sa monture. Il lui mit également des cloches et, finalement, passa le licol en collier à son cheval avant de lui passer les rênes par dessus l'encolure et de lui présenter le mors du filet. Son cheval ne le prit pas dans les dents mais Stun n'était pas du genre à refuser le filet. Andrew lui passa donc correctement par dessus les oreilles et lui régla bien le filet, vérifiant son état d'usure, ... Il se mit une casquette sur la tête et retira le licol en filet.
« Aller gros, on va y aller. »
Stun tourna sa belle tête vers lui et lui jeta un de ces beaux regards qui lui était si caractéristique, ce bel entier doté d'yeux noirs magnifiques. Andrew lui flatta l'encolure et l'emmena vers la sortie de la dalle de pansage. Il ne voulait pas monter sur le dos de son cheval sur une dalle en béton. Donc, il l'amena près de l'entrée de l'Académie, dans une partie de terre et de gazon mélangés. Il se hissa souplement en selle, son entier se chauffant légèrement, commençant à trottiner sur place. Cela fit rire Andrew. Dans quelques temps il ne se chaufferait plus. Andrew commença à faire marcher son cheval, se dirigeant tranquillement sur son camion trottinant vers la piste pour commencer le travail de course avec son splendide comtois.
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